Pour quoi ?
Muscles et ligaments
Le corps dispose d’une grande faculté d’élasticité. Cette dernière lui permet de s’adapter aux contraintes de déformation que lui imposent les chocs occasionnels de la vie courante. Un traumatisme peut provoquer des lésions irréversibles nécessitant un chirurgie réparatrice : fractures, arrachements ligamentaires…. Cependant, un choc bénin ou un simple faux mouvement peuvent suffire à provoquer élongations, déchirures musculaires, tendinopathies, entorses à répétition… la manipulation ostéopathique améliorera immédiatement les qualités mécaniques locales, en restaurant les micro glissements et roulements propres à chaque articulation.
A terme, le rétablissement de la fonction supprimera l’œdème et la douleur.
Grossesse et post partum
L’accouchement exploite les capacités de mobilité du bassin pour faciliter le passage de la tête du bébé. De la même manière toute la grossesse devrait s’effectuer sans contrainte excessive au niveau du dos. La station debout peut, elle aussi, être améliorée pour mieux gérer l’équilibre du corps de la mère. Une manipulation adaptée permet au bassin d’exploiter au mieux son potentiel d’élasticité. Lors du passage, le crâne du bébé se moule ainsi sans forcer sur le cadre osseux.
Orthodontie
La pose d’un appareil dentaire chez l’enfant répond à un souci esthétique et fonctionnel. En pleine croissance, celui-ci doit gérer cette contrainte nécessaire. L’ostéopathe, dans sa perspective plus globale, offre le maximum de possibilités d’adaptations vertébrales et crâniennes. L’ostéopathe peut assouplir le traitement et améliorer la symétrie du résultat pour ne pas nuire à la déglutition, à la respiration et aux grands équilibres fonctionnels.
La pose d’un appareil dentaire chez l’enfant répond à un souci esthétique et fonctionnel. En pleine croissance, celui-ci doit gérer cette contrainte nécessaire. L’ostéopathe, dans sa perspective plus globale, offre le maximum de possibilités d’adaptations vertébrales et crâniennes. L’ostéopathe peut assouplir le traitement et améliorer la symétrie du résultat pour ne pas nuire à la déglutition, à la respiration et aux grands équilibres fonctionnels.
La pose d’un appareil dentaire chez l’enfant répond à un souci esthétique et fonctionnel. En pleine croissance, celui-ci doit gérer cette contrainte nécessaire. L’ostéopathe, dans sa perspective plus globale, offre le maximum de possibilités d’adaptations vertébrales et crâniennes. L’ostéopathe peut assouplir le traitement et améliorer la symétrie du résultat pour ne pas nuire à la déglutition, à la respiration et aux grands équilibres fonctionnels.
Enfants
Dès son plus jeune âge, l’enfant manifeste des symptômes répétés que l’on a tendance à négliger : régurgitation, confusion jour/nuit, cauchemars, difficultés à traiter, problèmes cutanés, bronchites et otites à répétition… Ces signes témoignent de lésions ostéopathiques spécifiques. La manipulation de la base du crâne influe sur la commande neurologique de l’appareil pulmonaire et digestif. La stimulation des systèmes d’élimination du corps (émonctoires : peau, reins, intestins), améliore les problèmes de peau.
Sports et compétitions
Lors d’une activité sportive soutenue, l’effort réclame la disponibilité du potentiel physique. La résistance et l’élasticité de l’appareil musculo squelettique sont sans cesse sollicitées. Un entrainement de qualité ne peut, en aucun cas, réaliser une auto correction par le mouvement. A force de compensation, le corps s’expose à des risques d’accidents musculaires ou tendineux : claquages, tennis elbow, tendinites chroniques… Eviter le manque de mobilité des zones charnières améliore la réalisation du geste sportif et autorise sa répétition. En conséquence, la performance sportive peut être améliorée. En favorisant l’élasticité locale, on favorise les échanges sanguins et l’élimination des déchets, ce qui est bénéfique pour la performance sportive.
Les points clefs de l’ostéopathe du sport :
- La gestion du sportif : suivi préventif et curatif
- Suivi thérapeutique : établir une communication avec le sportif, analyser et comprendre sa douleur, programmer son traitement et son suivi dans le temps.
- Suivi préventif : accompagnement afin d’éviter les blessures par un surmenage. Analyse des critères de traitement en fonction de la gravité des blessures.
- Complémentarité : le plus important passe par la relation avec les coachs et le staff médical. Il faut que l’information circule au sein de l’équipe qui entoure le sportif
Nez, gorge et oreilles (ORL)
Le système immunitaire se forge en luttant contre les virus et les bactéries. Il devient mature et autonome à l’âge d’environ 6 ou 7 ans. Thymus, végétations, amygdales sont les premiers lieux de défense sollicités par les affections ORL (rhinites, otites, sinusites, angines…). Il est essentiel de veiller au bon environnement mécanique local de ces organes ainsi que leur commande neurovasculaire. Une manipulation crânienne appropriée peut aider à vider une cavité sinusienne encombrée, ou drainer une trompe d’Eustache. En évitant le « trop plein » et en apportant assez de sang à la zone douloureuse, on maîtrise la réaction inflammatoire de la muqueuse.
Équilibre du corps et orthopédie
L’homme debout dispose d’un potentiel d’adaptation répondant à des capteurs sensibles : oreille interne, pied, œil, zones ligamentaires richement innervées… L’organisme réclame un travail constant de ré équilibration du centre de gravité. Lorsque ce potentiel est dépassé, le corps, contraint de déformer l’os ou l’articulation, provoque scoliose, pied-bot varus équin, hallux valgus… Les zones charnières porteuses des principaux capteurs ne doivent souffrir d’aucun manque de mobilité afin d’éviter les déformations articulaires, sources de douleurs. En dehors des anomalies congénitales et des phénomènes de vieillissement excessif, le traitement consiste à prévenir l’aggravation. La manipulation des zones hypo mobiles permet de mieux gérer la statique du corps.